Lidl s’engage pleinement vers une digitalisation de son folder dans les provinces de Hainaut et du Brabant wallon.
A partir du 2 septembre, la chaîne de supermarchés va renforcer sa communication digitale au sein des provinces de Hainaut et du Brabant wallon. Le discounter, qui mise de plus en plus sur la digitalisation, compte de cette manière réduire considérablement l’utilisation du papier.
La chaîne de supermarchés Lidl annonce aujourd’hui la suppression des folders en papier sur l’ensemble du territoire hennuyer et brabançon. Les clients pourront continuer à prendre connaissance des meilleures offres via les applications Lidl Plus et WhatsApp, via lidl.be ou encore en consultant les folders disponibles en magasin. Cette initiative permet aux clients de contribuer à une économie considérable en matière de production de papier.
« Bien que le folder papier représente aujourd’hui encore un des principaux médias de notre mix de communication promotionnelle, il nous semble impératif de poursuivre la transition progressive vers le digital qui prend davantage d’importance dans les habitudes de nos clients », explique Julien Wathieu, porte-parole de l’enseigne. « Nos clients s’informent de plus en plus grâce à notre site internet, notre application ou directement auprès de notre personnel en magasin. Chaque semaine, de nombreux clients consultent nos folders digitaux, cela représente une augmentation de 22% par rapport à 2022. Ils passent en moyenne un peu plus de 4 minutes pour consulter nos meilleures offres et découvrir nos nouveautés.
Aujourd’hui, en ciblant les provinces de Hainaut et du Brabant wallon, l’enseigne va épargner l’envoi de 350.000 folders. Cette initiative visant à limiter la production de papier a tout d’abord été mise en place dans les communes de Namur, Liège, Anvers et Gand, pour ensuite se développer à Bruxelles. La majorité des coûts économisés sur les dépliants seront consacrés à la communication digitale.
« Nous sommes heureux de poursuivre nos efforts vers une consommation plus durable et responsable », ajoute encore Julien Wathieu.